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 Les PASS
 Organisation des « Pôles pour l'accompagnement à la   scolarisation des jeunes sourds »  Présentation de la circulaire n° 2010-068 du 28 mai 2010
 
 
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      |  | Cette circulaire du 28 mai 2010 a été abrogée par le circulaire 2017-011 du 3 février 2017 : Mise en œuvre du parcours de formation du jeune sourd | 
    |  | Voir circulaire n° 2010-068 du 28 mai 2010 | 
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  | La loi de février 2005 | 
  |  | C'est la loi de février 2005 qui a posé le principe de la liberté de choix entre une communication bilingue  (langue des signes et langue française) et une communication en langue  française (Art. 112-3). Les textes qui suivent cette loi,  jusqu'à la circulaire sur les PASS, ont pour  objet de mettre ce principe en œuvre. (1) | 
  |  | Par ailleurs, la  loi a reconnu à la langue des signes française (L.S.F.) un statut de langue de  la République au même titre que le français (Art. L312-9-1). En d'autres  termes, on peut enseigner la langue des signes et on peut enseigner en langue  des signes. | 
  | La mise en oeuvre de la loi | 
  |  | La loi a été suivie d'un Décret d'application du 3 mai 2006  (2) qui précise les conditions d'exercice de la liberté de choix entre une  communication bilingue et une communication en langue française. | 
  |  | Puis un certain nombre de dispositions ont été prises. Les premières  concernent les programmes d'enseignement de la langue des  signes française. (3) Les suivantes concernent les personnels susceptibles d'enseigner la L.S.F.  ou d'enseigner en L.S.F. Les textes  officiels (circulaire n° 2008-109  du 21-8-2008) (4) ont distingué trois catégories  d'enseignant :
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  |  | -  Dans le premier degré, des professeurs des écoles, titulaires du CAPA-S.H., qui  maîtrisent totalement la L.S.F. - Dans le second degré, des professeurs de collège et lycée, éventuellement  détenteurs du 2C.A.-S.H., ayant également appris la L.S.F. Un CAPES LSF a été  créé, pour le recrutement  des professeurs de l’Education nationale. Ce diplôme autorise à enseigner la  LSF.
 Parallèlement, les professeurs du 1er et 2ème degré compétents en LSF peuvent  obtenir une « certification complémentaire » qui les autorise à enseigner en  LSF.  (5).
 - Et troisièmement  des enseignants sourds qui possèdent les compétences suffisantes en L.S.F. et  pour lesquels la maîtrise du français écrit et les capacités pédagogiques  évoquées plus haut auront été attestées par les corps d'inspection compétents. (Voir  ci-dessous)
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  |  | Et enfin, cette même circulaires  du 21 août 2008 (circulaire n° 2008-109 du 21  août 2008) (6) préconisait la désignation, dans chaque académie, de "pôles  ressources en L.S.F " où cet enseignement  devait être dispensé. Cette première circulaire se trouve remaniée par la  circulaire récente sur les PASS. | 
  | La circulaire de 2008 (les pôles ressources en L.S.F) et l'école Beauregard | 
  | L'analyse ci-dessous se réfère notamment à l'expérience de l'école Beairegard à La Rochelle | 
  |  | Cette circulaire de 2008 marquait une étape de la mise en  œuvre de la loi de 20058. On peut dire que pour une part  elle préconise  ce qui se faisait déjà depuis longtemps. Et il  ne faut pas s'en étonner. Les bonnes circulaires ne tombent pas du ciel, elles  s'appuient sur les initiatives locales, elles les harmonisent et elles  cherchent à les étendre à l'ensemble des départements. | 
  |  | Beauregard, à La Rochelle, correspond assez bien, me semble-t-il, à ces "pôles ressources en L.S.F." de la circulaire.  Beauregard me paraît être une "pôle école", si l'on peut dire,  qui présente une certaine originalité, notamment en maternelle, où des classes  "ordinaires" accueillant quelques enfants handicapés sourds sont tenues  par des enseignants spécialisés.  On  tient à la fois l'inclusion, le plus possible en milieu ordinaire, et l'enseignement  spécialisé. | 
  |  | La circulaire de 2008 ne concernait que la communication  bilingue. C'est la différence d'avec les PASS. Mais elle préconisait déjà de construire les pôles ressources LSF  de façon à permettre des parcours scolaires allant de la maternelle au lycée. | 
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  |  | On  note encore que la circulaire prévoyait le regroupement  des enfants, (7) ne fût-ce que pour une utilisation rationnelle des moyens,  sur lesquels elle reste d'ailleurs assez  discrète. | 
  | Les regroupements d'élèves | 
  |  | La question du regroupement des élèves handicapés est l'une  des questions délicates, voire une question piège, de l'inclusion scolaire  depuis qu'on a énoncé le principe du droit à la scolarisation "dans  l'école (ou dans l'établissement) le plus proche du domicile" (8). Mais cette  priorité donnée "à l'école la plus proche du domicile" peut être  source d'ambigüité. Beaucoup la comprennent et l'utilisent comme signifiant que  puisque les parents d'un enfant handicapé ont le droit de le mettre dans  l'école la plus proche du domicile, chaque école doit être en mesure  d'accueillir leur enfant et doit donc avoir les compétences nécessaires. A  l'éducation nationale et aux enseignants, donc, de se débrouiller. | 
  |  | On voit des parents d'enfants sourds qui tiennent à mettre  leur enfant dès la maternelle dans l'école de leur village, parce que c'est  plus commode, parce qu'ils pensent qu'avec un PPS qui va décrire à  l'enseignante ce qu'elle doit faire  et  qui  va aussi  faciliter la collaboration entre l'enseignante  et l'orthophoniste tout se passera bien, et parce qu'ils sont convaincus que  l'enfant bénéficiera  d'être dans un  milieu ordinaire où il pourra échanger avec des enfants non handicapés.  Mais en oubliant que ça n'est pas automatique  et qu'il faut des médiateurs. | 
  |  | En fait, il peut être plus judicieux de considérer l'inclusion scolaire comme  le but à atteindre, dans toute la mesure du possible, mais qu'au départ, pour  certains handicaps, la priorité doit être de favoriser des rééducations  précoces et intensives, avec aussi des maîtres spécialisés. Et alors, il faut  accepter, au moins provisoirement, le principe de regroupements pour une prise  en charge spécifique. | 
  |  | La circulaire de 2008 et celle de 2010 sur les PASS vont  précisément dans ce sens. | 
  | Parenthèse dysphasie | 
  |  | Intérêt pour AAD17 | 
  |  | Ce  modèle  "Beauregard"  de pôle école pour les enfants malentendants serait sans aucun doute  susceptible  d'intéresser d'autres catégories de handicaps. L'association AAD17, qui regroupe des parents  d'enfants dysphasiques,avait  déposé  un projet en ce sens auprès de M. l'Inspecteur d'académie... | 
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  | Les PASS  "Pôles pour l'accompagnement à la scolarisation des jeunes  sourds" Circulaire n° 2010-068 du 28 mai 2010 (9)
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  |  | Une orientation élargie et une  nouvelle appellation. | 
  |  | La circulaire sur les PASS préconise précisément des  regroupements d'élèves  sourds. Et elle  fait un  pas de plus en ce sens que la  circulaire de 2008.  La circulaire de 2008 envisageait la création de  "pôles ressources LSF". Celle de 2010 décide de la création de "Pôles pour  l'accompagnement à la scolarisation des jeunes sourds" pour tous les  jeunes sourds. C'est la principale  différence. | 
  |  | La première circulaire ne concernait que les élèves dont les parents avaient  fait le choix de la communication bilingue, avec tout de même une certaine  ouverture : elle reconnaissait par exemple que les élèves qui se situent  dans la proximité de vie immédiate et obligée d’un jeune sourd (fratries,  camarades de classe par exemple), pourraient également, dans la limite du  possible, avoir accès à l’enseignement de la L.S.F. Mais on reste dans le  domaine de la LSF. | 
  |  | La circulaire de 2010 étend au  contraire le dispositif au public plus large des élèves dont les parents ont  fait le choix d'une communication en langue française (écrit et oral) : l'objet  de la circulaire est précisément d'élargir la notion de pôle ressource.  L'appellation "pôle LSF" devenait donc trop restrictive. D'où un  changement d'appellation. Mais ce n'est pas : on arrête les pôles LSF et on  fait autre chose, c'est : on s'appuie sur les pôles LSF et on les développe. | 
  |  | Plusieurs arguments sont avancés en faveur de cet élargissement du regroupement : - premièrement qu'il permettra aux familles d'exercer plus facilement leur  libre choix entre les deux modes de communication ;
 - deuxièmement l'intérêt d'une imprégnation en LSF pour les jeunes ayant fait  le choix de la   communication en français  ;
 - et troisièmement, quoique exprimé de manière moins explicite, il s'agit bien  aussi d'une utilisation rationnelle des moyens. "Il convient, est-il  écrit, de veiller à concentrer dans ces Pass les meilleures conditions  possibles de scolarisation, l'exigence de qualité restant primordiale."
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  |  | Ces nouvelles dispositions suscitent des  réticences chez certaines associations ou dans certains cercles qui craignent  que cet élargissement des PASS aux deux types de communication, - communication  bilingue et communication en français, - ne se fasse au détriment de la  première. | 
  |  | L'association UNISDA (10), par exemple, demande la  création de deux « Pass » par département, chacun des deux pôles devant être  spécifiquement consacré à chacun des modes linguistiques retenus (bilinguisme  ou langue française) | 
  | Une nouvelle organisation | 
  |  | Le recrutement, donc, comme nous l'avons vu, est élargi. L'objectif pédagogique essentiel est de  s'assurer de la maîtrise de la lecture et de  l'écriture par tous les élèves sourds. Le  Pass doit servir de cadre à la  réalisation de cet objectif. Il s'agit de renforcer prioritairement l'apprentissage du français, écrit pour les élèves ayant fait le choix  d'une communication bilingue, écrit et oral pour les élèves ayant fait le choix  d'une communication en langue française. | 
  |  | L'organisation prévue par  la circulaire de 2008 est maintenue. Comme celle de 2008, la circulaire sur les  PASS préconise la continuité des  enseignements de la maternelle au lycée. Le PASS comprend donc un ensemble  d'établissements scolaires du premier et du second degré dans un secteur  géographique limité, incluant nécessairement un lycée professionnel. Elle  préconisait même que chaque académie établisse une "carte des PASS",  ce qui suppose un certain nombre de pôles. Soyons optimistes ! | 
  |  | La circulaire de 2010 annonce une organisation  "cohérente et resserrée". Ce qui  est nouveau, c'est la désignation dans chaque PASS d'un "médiateur pédagogique", choisi  parmi les parmi les professeurs (du premier ou du second degré) ayant acquis la  certification complémentaire en LSF. "Il aura pour tâche d'assurer une  médiation pédagogique auprès des élèves sourds qui pourront le rencontrer à une  heure donnée fixée dans les emplois du temps, pour faire état de leurs  difficultés scolaires. Il servira aussi de médiateur auprès de ses collègues  professeurs disciplinaires auxquels il rendra compte des difficultés spécifiques  des élèves sourds à suivre, par exemple, telle ou telle partie du cours. Cette  heure de médiation sera incluse dans son service ou effectuée en heure  supplémentaire." Ce médiateur pourra aussi servir d'interface à la  communication entre adultes (parents, enseignants, personnels administratifs ou  de service, etc.). Le contingent horaire attribué à la médiation n'est fixée.
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  |  | La circulaire  ajoute quelques précisions relatives aux horaires  d'enseignement : "les élèves sourds dont les  parents ont fait le choix d'une communication bilingue doivent recevoir un  temps d'enseignement de la LSF conséquent, qui ne pourra être inférieur au  temps consacré ordinairement à l'enseignement du français oral. Un minimum de deux heures hebdomadaires de  LSF semble s'imposer (…). Chaque établissement en fixera les conditions de  mise en place en fonction du nombre d'enfants sourds concernés." Et  peut-être aussi, la circulaire ne le dit pas, en fonction des moyens dont on  dispose… | 
  |  | Les jeunes sourds ayant fait le choix de la communication  en langue française seront scolarisés dans ces Pass, l'expérience montrant  qu'un bon nombre d'entre eux acquièrent aussi la LSF à un moment donné de leur  parcours scolaire (…). | 
  | Les enseignants sourds (11) | 
  |  | Concernant  l'embauche des personnels sourds qui enseignent la langue des signes française,  la circulaire du 21 août 2008 n'est pas très précise. Il s'agit d'enseignants  sourds "qui possèdent les compétences suffisantes en L.S.F. et pour  lesquels la maîtrise du français écrit et les capacités pédagogiques évoquées  plus haut auront été attestées par les corps d'inspection compétents." | 
  |  | La circulaire de 2008 fait état de recrutement  par voie contractuelle, mais elle renvoie au décret n° 95-979 du 25 août  1995, qui porte sur l'embauche de personnels handicapés par l'éducation  nationale, quelque soit le handicap, et non pas sur l'embauche spécifique d'enseignants.  La      circulaire de 2010 sur les  PASS ajoute seulement que "ces enseignants, pour l'essentiel aujourd'hui  des enseignants sourds venant d'associations ou d'instituts spécialisés, sont  contractualisés par les rectorats d'académie." | 
  |  | Je connais un PASS dont l'enseignant sourd de LSF a un statut d'AVS ! L'IRJS  complète son salaire. | 
  | Le recours aux TICE  (Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Enseignement). | 
  |  | La circulaire mise beaucoup sur les Tice, au service de la  scolarisation. Des expérimentations sont en cours. On compte notamment sur  l'utilisation dans les salles de classe, c'est-à-dire pendant les cours, des  logiciels de reconnaissance vocale et de synthèse vocale (écran-voix et  voix-écran). Ces logiciels ont certainement fait de grands progrès au cours des  dernières années.  Mais la difficulté est  que ces outils réclament une bonne connaissance du français ! | 
  |  | Il y a une autre difficulté, liée au fait que beaucoup de  choses qui sont dites dans la classe, remarques individuelles, etc.,  ne sont pas faites pour être écrites et  rendent la lecture de la leçon sur l'écran beaucoup plus difficile. | 
  | En conclusion | 
  |  | La circulaire, donc,  veut rendre  effectivement possible pour tous les enfants sourds la liberté de choix entre  une communication bilingue (langue des signes et langue française) et une  communication en langue française. C'est un beau et vaste programme, évidemment  difficile à mettre en oeuvre ! L'accompagnement des élèves en LSF ou en LPC  exige des moyens considérables. | 
  |  | La circulaire prend acte de ce qui existe sur le terrain, et elle émet un  certain nombre de vœux, en indiquant les voies à suivre, mais sans donner  beaucoup de moyens et donc sans être très contraignante pour l'administration .  Elle lance une sorte d'appel aux  bonnes volontés : " C'est par l'addition de  toutes ces modalités, la mise en synergie d'enseignants sourds, de professeurs  titulaires du Capes LSF et de professeurs habilités par la certification  complémentaire, avec l'appui d'un usage pertinent d'outils technologiques, que  ces Pass offriront la meilleure qualité d'enseignement à ces élèves à besoins  particuliers." | 
  |  | Elle ajoute qu'il faudra veiller à inscrire dans les PAF (plans  académiques de formation) pour les enseignants volontaires des actions  appropriées visant à leur assurer une initiation à l'usage des outils  technologiques et à la technique du codage et elle ajoute encore, et on se  demande ce que cela vient faire juste en fin de circulaire, que les cours  dispensés dans les classes ordinaires doivent être projetés dans leur version  écrite ! | 
  |  | On notera que c'est, à quelques lignes de la fin  de la circulaire, la seule évocation du LPC ! | 
  | Et en  conclusion plus personnelle | 
  |  | J'ajouterai que les  orientations de la circulaire sont intéressantes mais qu'on souhaiterait des  préconisation plus concrètes… | 
  |  | Le fonctionnement du PASS pourrait comprendre un  certain nombre d'observations ou d'orientations relatives à la collaboration  des personnels du PASS impliqués dans la scolarisation des enfants sourds.  Relatives aussi à la formation et aux prévisions de formations des personnels  spécialisés (envois en formation CAPA-SH, par exemple…). | 
  |  | Il n'y a pas un mot non plus sur le rôle que le PASS pourrait jouer vis-à-vis  des enseignants qui reçoivent des enfants sourds dans d'autres écoles… Car les  élèves conservent le droit d'une possible scolarisation individuelle dans leur  école. Le PASS ne devrait-il pas être appelé à jouer un rôle de centre  ressources ? | 
  |  | Et surtout, je suis surpris par le fait qu'il  n'y ait pratiquement aucune allusion aux professionnels du secteur médico-éducatif  ou de la santé qui n'interviennent auprès des enfants. Pas un mot sur les  orthophonistes, sur les médecins ORTL, sur les rapports avec la MDPH, sur  l'environnement (rapports avec un institut) ? Les SSEFIS sont mentionnés une  fois, presque accidentellement. Je ne sais pas si c'est l'éducation nationale  qui veut faire cavalier seul, mais en tout cas, c'est vraiment un texte très  interne à l'éducation nationale. | 
  |  | Bref, ce qui m'inquiète dans ce texte, ce n'est  pas ce qu'il dit, mais c'est ce qu'il ne dit pas. Et en même temps, c'est  peut-être un texte qui ne ferme pas les portes et qui permet d'aller de l'avant… 
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  |  | Pierre Baligand – décembre 2011 | 
  |  | NB. Il semble qu'à la rentrée 2011 tous les  départements devaient être dotés d'un PASS. | 
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  | NOTES - Textes officiels | 
  |  | (1) La loi n° 2005-102 du 11 février  2005 Code de l'éducation, art.  L. 112-2-2,   L112-3, L319-9-1
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  |  | (2)  Décret 2006-503 du 3 mai 2006 relatif à l'éducation et au parcours scolaire des  jeunes sourds, repris aux articles R 351-21 à R 351-25 du code de l'Education. | 
  |  | (3)  Arrêté du 15-7-2008 (B.O. n° 33 du 4 septembre  2008) - Enseignement de la langue des signes  française à l’école primaire http://www.education.gouv.fr/cid22247/mene0817503a.html
 Arrêté du 3-6-2009 (B.O.  n° 29 du 16 juillet 2009) - Programme de  l'enseignement de la langue des signes française au collège
 http://www.education.gouv.fr/cid28873/mene0911014a.html
 Circulaire n° 2008-109 du  21-8-2008 (B.O. n° 33 du 4 septembre 2008) Conditions de mise en œuvre du programme de la  langue des signes française à l’école primaire
 http://www.education.gouv.fr/cid22246/mene0800665c.html
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  |  | (4)  Circulaire n° 2008-109 du 21-8-2008 – (B.O.  n° 33 du 4 septembre 2008) - Conditions de  mise en œuvre du programme de la langue des signes française à l’école primaire http://www.education.gouv.fr/cid22246/mene0800665c.html
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  |  | (5)  Note de service n° 2009-188 du 17-12-2009   (B.O. n° 48 du 24 décembre 2009) - Création dans le secteur disciplinaire «  enseignement en langue des signes française » http://www.education.gouv.fr/cid50068/menh0929050n.html
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  |  | (6) Circulaire n° 2008-109 du 21-8-2008 | 
  |  | (7)  Circulaire n° 2008-109 du 21-8-2008 | 
  |  | (8) Loi de 2005 – Article  19 | 
  |  | (9) Circulaire n° 2010-068 du 28 mai 2010 Organisation des « Pôles pour l'accompagnement  à la scolarisation des jeunes sourds »
 Bulletin officiel n°25 du 24 juin 2010
 http://www.education.gouv.fr/cid52184/mene1013746c.html
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  |  | 
  |  |     (10)  UNISDAhttp://www.unisda.org/spip.php?article373
 
 
 | 
  |  | (11) Circulaire n° 2008-109 du 21-8-2008. Circulaire n° 2010-068 du 28-5-2010
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  |  | 
| Mise 
à jour : 12/12/11  
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