TROUBLES
DU LANGAGE ET DES APPRENTISSAGES ET SCOLARISATION |
présentation |
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La
circulaire n° 2002-024 du 31 janvier 2002
les troubles du langage oral ou écrit
Les troubles "primaires" : troubles du langage, troubles autistiques,
hyperactivité...
Présentation
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On
trouve la circulaire n° 20025-024 du 31 janvier 2002 relative à la "Mise en uvre
d'un plan d'action pour les enfants atteints d'un trouble spécifique du
lange oral ou écrit" sur: http://www.education.gouv.fr/bo/2002/6/encart.htm (BO n° 2 du 7 février 2002) |
| Nous
en donnons de larges extraits dans
la partie "Textes officiels. Troubles du langage". |
1.
Une reconnaissance des troubles du langage comme handicap
Les textes officiels
reconnaissent que les troubles du langage constituent dans certains cas un véritable
handicap, qui doit être traité comme tel par les commissions de l'éducation
spéciale. |
| Rappel
Le
rapport Ringard (juillet 2000) se montrait particulièrement explicite
sur ce point (1), en rappelant que le terme handicap désigne un désavantage
d'ordre situationnel - tel que par exemple des situations de non-intégration
sociale - fondé sur une déficience et une incapacité (2). |
| 1)
"Le terme handicap doit être employé
au regard du guide-barème pour l'évaluation des déficiences
et des incapacités pour des personnes handicapées". (Rapport
Ringard - Recommandations. Principe de reconnaissance). Et : ... "un
trouble du langage est une déficience qui peut être responsable d'une
incapacité, l'incapacité de communication, pouvant entraîner
un désavantage (traduction de handicap en anglais) tel une situation de
non intégration sociale". (Rapport Ringard - Définition de
la dysphasie). On peut parler en ce sens d'un véritable
handicap scolaire. |
| (2)
Voir "nomenclature des handicaps". Il appartient
à la CDES (Commission départementale de l'Éducation spéciale)
d'évaluer les déficiences et les incapacités des personnes
handicapées. Elles utilisent pour cela un "'guide-barême".
Nous donnons copie, dans la partie "Documents annexes", des articles
du guide-barême consacrés aux
troubles du langage. Voir : "Les troubles du langage
dans le Guide-Barême". |
La
circulaire de janvier 2002 ne revient pas sur ces explications et fait montre
d'une certaine prudence dans l'utilisation de ce vocabulaire, par souci d'éviter
une stigmatisation trop précoce du handicap ou une confusion entre les
troubles ordinaires du langage qui peuvent se présenter chez nombre d'enfants
au cours de leur évolution et les troubles qui se manifestent dans des
cas très sévères d'atteintes du langage oral ou écrit.
Mais la circulaire, autant que le rapport, invite les commissions à mettre
en uvre au bénéfice des enfants qui souffrent d'un trouble
sévère du langage les processus ordinaires de la prise en charge
des enfants handicapés et de l'intégration scolaire. Elle insiste
notamment sur deux aspects de cette prise en charge : la structuration du groupe
classe autour d'un projet commun et l'organisation d'un partenariat. |
| Note
à propos du repérage et du diagnostic des troubles du langage |
| Le
Ministère de la Santé a publié des Recommandations sur les
outils de Repérage, Dépistage, Diagnostic pour les enfants atteints
d'un trouble spécifique du langage, par L Vallée et G Dellatollas. Rapport
remis le 2 octobre 2005 http://www.sante.gouv.fr/htm/dossiers/troubles_langage/recommandations_tsl.pdf |
|
2.
Reprise des schémas classiques de l'intégration. Concernant
le déroulement de la scolarité des enfants porteurs de troubles
du langage, la circulaire reprend à son compte les schémas ordinaires
de l'aide aux élèves en difficulté et de l'intégration
scolaire des enfants handicapés, dans leurs différentes modalités
: |
·
Pour la majorité des enfants et des adolescents concernés, la scolarité
peut s'effectuer : - soit dans une classe ordinaire avec des stratégies
pédagogiques adaptées, et le cas échéant avec l'aide
des membres du réseau d'aides spécialisées (RASED) ;
- soit dans une classe ordinaire, mais en conjuguant l'intervention pédagogique
du maître de la classe avec celle de spécialistes du secteur médico-social
ou encore de professionnels libéraux. |
·
Pour les enfants ou adolescents présentant des formes sévères
(moins de 1 % des élèves), par contre, la scolarisation s'effectuera
: - dans une classe d'intégration scolaire (CLIS) dans une école
ordinaire ou dans une unité pédagogique d'intégration (UPI)
en collège, avec l'aide des services d'éducation spéciale
ou de soins ; - ou dans la classe d'un établissement spécialisé,
qui dispensera à l'enfant les soins et les rééducations nécessaires. |
Concernant
les clis et les upi, la circulaire précise que ces
dispositifs collectifs de scolarisation doivent être structurés autour
d'un projet pédagogique précis élaboré pour des élèves
présentant des besoins éducatifs suffisamment proches (II.1.
Modalités de prise en charge). Nous reviendrons sur l'originalité
de cette définition. |
La
circulaire rappelle comme il convient que "que toute orientation vers un
dispositif collectif d'intégration (CLIS, UPI), a fortiori vers un établissement
spécialisé, requiert la décision d'une commission de l'éducation
spéciale". (ll.2. Modalités d'orientation). |
| |
3.
Une approche renouvelée des troubles "primaires" : troubles du
langage, hyperactivité, autisme... |
| Rappel Le
rapport Ringard rappelait que "En France, la nomenclature
des déficiences, incapacités et désavantages, inspirée
étroitement de la classification internationale des handicaps proposée
par l'OMS retient la définition des déficiences du langage et de
la parole comme une déficience du mode de communication lorsqu'elle n'est
pas due à une déficience intellectuelle." Et il précisait
: "Il semble admis que la dysphasie soit un trouble structurel et que le
retard de langage soit un trouble fonctionnel susceptible de s'amender grâce
à une optimisation des conditions de stimulation". (Idem). |
les
polémiques restent vives entre les diverses écoles ou courant de
pensée, personne ne nie cependant que des enfants, des adolescents et des
adultes manifestent des difficultés de lecture et d'écriture considérables
et souvent inattendues au vu de leurs capacités intellectuelles".
(Rapport Ringard - Essai de définition) | |
La
circulaire de janvier 2002 marque une nouvelle avancée dans la définition
des troubles du langage : on y trouve pour la première fois sans doute
de façon aussi explicite dans un texte officiel la prise en compte de cette
catégorie de troubles et la volonté de leur donner la place qu'ils
ont bien des difficultés à trouver entre le retard mental - qui
reste au centre de la loi de 75 - et les troubles d'ordre psychiatrique, - qui
demeurent l'apanage du secteur sanitaire et des hôpitaux de jour. |
La
circulaire s'attache à préciser leur statut, et elle en donne une
définition élargie qui va bien au delà des seuls troubles
du langage. Nous la citons dans son intégralité : |
"Les
troubles spécifiques du langage oral et écrit (dysphasies, dyslexies)
qui font l'objet de cette circulaire sont à situer dans l'ensemble plus
vaste des troubles spécifiques des apprentissages qui comportent
aussi les dyscalculies (troubles des fonctions logico-mathématiques), les
dyspraxies (troubles de l'acquisition de la coordination) et les troubles attentionnels
avec ou sans hyperactivité. |
| On
estime à environ 4 à 6 % les enfants d'une classe d'âge, concernés
par ces troubles pris dans leur ensemble, dont moins de 1 % présentent
une déficience sévère. |
Leur
originalité tient à ce que ceux-ci ne peuvent être mis
en rapport direct avec des anomalies neurologiques ou des anomalies anatomiques
de l'organe phonatoire, pas plus qu'avec une déficience auditive grave,
un retard mental ou un trouble sévère du comportement et
de la communication. Ces troubles sont considérés comme primaires,
c'est-à-dire que leur origine est supposée développementale,
indépendante de l'environnement socio-culturel d'une part, et d'une déficience
avérée ou d'un trouble psychique d'autre part." (Circ.
Définition des troubles spécifiques du langage écrit et oral). |
|
4.
Prendre en compte l'enfant et son trouble, dans une perspective éducative Cette
approche renouvelée des troubles "primaires" doit conduire à
une réflexion sur la prise en charge des enfants qui en sont porteurs. |
| Les
auteurs des travaux préparatoires de la circulaire ne cachent pas leur
sentiment qu'une focalisation sur l'origine des troubles a occulté parfois
les besoins éducatifs quotidiens des enfants, situation d'autant plus fâcheuse
que concernant les contenus, comme nous l'avons relevé (3), les prises
en charge, qu'elles soient pédagogiques, rééducatives ou
thérapeutiques, restent, pour partie, trés empiriques. Voir
page précédente : "Le plan d'action. Présentation". |
Bref,
que quelles que soient les écoles et quels que soient les débats
sur l'origine de ces troubles, les enfants et leur famille exigent qu'on leur
propose des prises en charge éducatives adaptées. C'est bien dans
cette perspective que se situe une circulaire qui souligne certes qu'il appartient
aux maîtres d'accorder une attention particulière aux problèmes
pédagogiques relatifs à la maîtrise de la langue orale et
écrite tout au long de la scolarité, mais dont l'objet spécifique
est bien de permettre une prise en compte plus efficace des troubles spécifiques
du langage, notamment par l'organisation de classes mieux adaptées et par
le développement du partenariat. |
| |
5.
Un nouveau concept de clis pour enfants ayant des besoins éducatifs spécifiques |
| |
| Le
rapport Ringard avait ouvert la voie, en proposant de "compléter les
textes sur les clis et les upi de manière à (...) faciliter la prise
en charge scolaire en groupes homogènes
d'enfants atteints de troubles langagiers sévères..." |
| A
quoi le ministre avait répondu : " Il ne paraît pas nécessaire
de créer des classes spécifiques, le dispositif actuel des classes
d'intégration dans le premier degré (clis) et des unités
d'intégration dans le second degré (upi), utilisé "autrement",
paraît suffisant". (J. Lang. Discours du 21 mars 2001). |
| La
circulaire apporte une réponse extrêmement intéressante, qui
va dans le même sens mais en apportant les précisions et les ajustements
indispensables : elle explique en quelque sorte ce qu'il faut entendre par "autrement" ! |
La
circulaire, premièrement, fait sauter le verrou
du handicap mental réduit au seul retard mental. Il y avait
en effet un certaine inconséquence à déclarer que certains
troubles du langage ne s'accompagnaient pas de retard mental et à proposer
dans le même temps l'utilisation d'un dispositif scolaire, les clis, destiné
précisément, semblait-il, à des élèves souffrant
d'un tel retard ! |
| C'est
bien ainsi, en effet, que sont trop souvent comprises les clis 1 : "Les élèves
admis dans ces CLIS sont des enfants atteints d'un handicap mental". (voir
: Textes officiels / Circ. du 18 nov. 91 relative aux clis,
Annexe 1). Cette idée qu'on ne pourrait pas concevoir de clis autres que
destinées prioritairement aux enfants souffrant d'un retard mental, - idée
qui repose sans doute sur une confusion entre handicap et déficience, mais
qui est en tout cas largement répandue, - fait obstacle, notamment chez
les parents, à l'organisation de telles classes, clis ou upi, pour des
enfants souffrant de troubles du langage, de troubles autistiques ou d'hyperactivité.
|
Et, deuxième
avancée, la circulaire reconnaît que les troubles de certains enfants
sont tels que leur scolarisation exige des regroupements spécifiques, suffisamment
homogènes, et adaptés : "ce dispositif
collectif de scolarisation (clis ou upi) est structuré autour d'un projet
pédagogique précis élaboré pour des élèves
présentant des besoins éducatifs suffisamment proches". |
| Cette
double évolution du concept de clis était d'ailleurs déjà
bien amorcée dans les faits. La circulaire du 27 avril 95 relative à
la prise en charge des enfants autistes prônait
déjà la création de services d'éducation spéciale
et de soins à domicile couplés à des classes d'intégration
scolaire, sans qu'il soit question de retard mental (3). Un certain nombre de
ces classes existent aujourd'hui en France (3bis), de même que les premières
clis ou upi pour enfants dyslexiques ou dysphasiques, qui commencent à
faire leur apparition (4) et selon toute vraisemblance, on devrait assister prochainement
à une évolution du même ordre au bénéfice des
enfants souffrant de dyspraxies. On observera
aussi que de toute façon le retard mental est lui-même une notion
beaucoup trop générale pour fonder un véritable projet de
classe et que les responsables sont naturellement conduits à distinguer
des degrés de handicaps dans le projet de certaines clis ou de certaines
upi, qui accueilleront par exemple les unes des enfants souffrant d'un retard
mental léger, les autres des enfants souffrant d'un retard moyen ou léger/moyen
(5). |
| (3)
Il y a un parallélisme entre les problèmes relatifs à la
scolarisation des enfants dyslexiques ou des enfants dysphasiques et les problèmes
relatifs à celle des enfants autistes. (3bis) voir "liste
des clis pour enfants autistes" (4) Nous donnons l'exemple d'une
classe adaptée en collège, qui n'a pas encore osé devenir
une véritable "upi". Voir : "Visite
d'une upi". (5) Les exemples de clis/sessad que nous donnons dans
ce site sont significatifs à cet égard. |
On
ne scolarise pas les enfants handicapés en pratiquant un amalgame inconsidéré
des handicaps. Les textes l'ont compris, qui accordent une importance fondamentale
au projet de classe et au principe du regroupement d'enfants présentant
des besoins éducatifs spécifiques "suffisamment proches".
|
Mais
bien entendu, il ne s'agit pas de voir là de nouveaux "ghettos",
comme on dit un peu légèrement... Aussi bien, la circulaire reprend
avec insistance les considérations habituelles sur le bon fonctionnement
des clis, qui doivent "favoriser autant qu'il est possible la participation
de l'élève aux activités d'une classe correspondant à
sa classe d'âge (...) et faciliter son retour dès que possible en
classe ordinaire". (II.2.
Modalités d'orientation). Il appartient à l'école
de bien intégrer la clis et ses élèves. C'est toute la communauté
scolaire qui doit apprendre à conjuguer le verbe intégrer ! |
| |
6.
Mais des problèmes de partenariat ! Utiliser
"autrement" ces dispositifs d'intégration collective que sont
les clis et les upi, c'est donc envisager leur organisation autour d'un "projet
de classe" prenant en compte des besoins spécifiques, mais c'est aussi
mettre en place le partenariat adéquat, - qui, relativement aux troubles
du langage, reste très souvent le maillon faible sur lequel achoppent les
projets d'intégration. |
Les
textes incitent à penser, dans la mesure où la clis et l'upi sont
présentées comme des unités de travail, structurées
et unifiées autour d'un projet précis, que le partenaire "santé",
- qu'il s'agisse d'un sessad, d'un service de pédo-psychiatrie ou de professionnels
libéraux, - doit faire partie intégrante de cette unité de
travail, et avoir sa place dans le projet d'intégration (6). |
| (6)
On trouve dans le site des exemples de cet ordre, et notamment des exemples de
conventions passées entre une clis ou un upi et un service de soin ou un
hôpital de jouir, en vue d'un travail réellement partenarial. Voir
notamment la partie "expériences" et
la partie "documents annexes". |
Il
ne faut pas le nier : concernant l'intégration scolaire des enfants souffrant
de troubles du langage, le partenaire est difficile à trouver. Le rapport
Ringard notait, à propos d'un éventuel besoin d'orientation en établissement
rendu nécessaire par la gravité des troubles, que "les annexes
XXIV ne comportent pas d'établissements spécifiques pour des troubles
cognitifs électifs sans déficience intellectuelle. Aussi, il existe
de façon ponctuelle des prises en charge d'enfants "à la marge"
par des établissements relevant de l'Annexe XXIV bis (déficients
moteurs) ou de l'Annexe XXIV quater (déficients auditifs), avec l'accord
des CDES concernées..." (Rapport
Ringard. Nature de la prise en charge). Et s'il n'existe que très
peu d'établissements appropriés, il n'existe donc guère plus
de sessad. |
| Le
ministre de la Santé avouait de son côté que "des enfants
d'intelligence normale ou supérieure sont en situation d'échec du
fait de l'absence de diagnostic et donc de prise en charge adaptée des
troubles d'apprentissage dont ils sont l'objet". Le ministre annonçait
la mise en uvre de mesures "tant pédagogiques que médicales
(qui) permettront de repérer, de diagnostiquer et de prendre en charge
ces troubles chez tous les enfants le nécessitant". (Voir : M. Kouchner.
Discours du 21 mars 2001). On sait qu'un certain nombre de dispositions ont
été prises depuis, avec notamment l'ouverture des "centres
référents" pour les troubles du langage. |
En
tout cas, la circulaire de janvier 2002 fait du partenariat une condition sine
qua non de la scolarisation : ".La prise en charge satisfaisante de ces élèves
en milieu scolaire, dès lors que les troubles présentés sont
graves, ne peut s'effectuer sans qu'un partenariat soit établi avec les
personnels spécialisés intervenant dans le domaine des soins et
des rééducations. Cette prise en charge suppose en effet la mobilisation
d'une équipe pluridisciplinaire". Et à propos des clis et
des upi, elle insiste encore sur le fait que "cette forme de scolarisation
s'accompagne de la continuation d'une prise en charge par un service d'éducation
spéciale ou de soins"... (II.
Assurer la continuité des parcours). |
| La
difficulté de situer cet éventuel partenariat constitue sans aucun
doute aujourd'hui la principale difficulté que rencontre la scolarisation
des enfants souffrants des troubles concernés et le principal obstacle
auquel se heurtent les familles, sans toujours qu'elles en aient conscience. |
| |
7.
Notre conclusion provisoire... Nous
sommes tentés de dire que les problèmes essentiels sont bien repérés
et que certains principes paraissent acquis : - celui de la nécessité
d'un diagnostic établi par des professionnels compétents (question
que nous n'avons pas abordée dans ce chapitre) ; - celui de la nécessité
de personnels et de services soignant appelés à suivre les enfants
et à devenir les partenaires d'actions d'intégration scolaire individuelles
ou collectives - celui de la mise en place de classes ou d'unités pédagogiques
d'intégration (clis ou upi...) et l'élargissement du concept de
classes pour enfants présentant des besoins éducatifs spécifiques.
|
Néanmoins
la vigilance reste de mise : - car, si les ministres définissent d'excellentes
orientations, ils laissent à d'autres, inspecteurs d'académie et
directeurs des DDASS notamment, le soin et la liberté de les mettre en
musique sur le terrain et d'y consacrer, selon l'intérêt qu'ils y
attachent, un peu des moyens dont ils disposent... |
-
et parce que la scolarisation en clis ou en upi d'enfants dyslexiques ou dysphasiques
et le fonctionnement d'un partenariat supposent que les commissions de l'éducation
spéciale soient au clair sur l'orientation des enfants concernés,
ce qui est loin d'être acquis. |
| |
Note
: le guide-barême |
On
trouvera
les articles du guide-barême consacrés
aux troubles du langage page "Les troubles du langage
dans le Guide Barême". |
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Mise
à jour : 12/12/07
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