LES RÈGLES DE LA SCOLARITÉ |
documents |
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Intervenants
extérieurs dans l'école
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Directives
générales |
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La participation d’intervenants extérieurs aux activités d’enseignement (et/ou d’encadrement) dans les écoles maternelles et élémentaires, qui au départ concernait essentiellement les enseignements sportifs et
artistiques, connaît depuis plusieurs années un développement important. On trouve une présentation générale des règles qui organisent leur accueil et leurs actions dans les écoles sur le site du ministère, dans Eduscol ou dans le vade-mecum des directeurs d'école : . |
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voir Eduscol : intervenants extérieurs Intervenants extérieurs en milieu scolaire | éduscol | Ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports - Direction générale de l'enseignement scolaire (education.fr) |
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voir Règlement type départemental 2.5 - Circulaire n° 2014-088 du 9-7-2014 - Bulletin officiel n° 28 du 10 juillet 2014 |
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voir Vade-mecum du directeur
d'école (septembre 2015) :
http://eduscol.education.fr/cid48582/guide-pratique-pour-la-direction-de-l-ecole-primaire.html > Les intervenants extérieurs sur temps scolaire |
Extrait
de Eduscol : Les intervenants extérieurs |
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Le
texte de référence reste la circulaire n° 92-196
du 3 juillet 1992 - BO n° 29 du 16 juillet
1992
http://circulaire.legifrance.gouv.fr/pdf/2009/04/cir_1020.pdf |
Toute
personne susceptible dapporter une contribution aux activités obligatoires
denseignement peut être autorisée ou agréée à
intervenir au cours des activités denseignement. |
Ces activités s'intègrent nécessairement au projet pédagogique de la classe qui est lui-même la traduction
des objectifs du projet d'école. |
Les
parents délèves, dautres adultes, notamment membres
dassociations, peuvent intervenir à titre bénévole. |
Les
intervenants non bénévoles sont rémunérés par
des associations (ou dautres personnes morales de droit privé) ou
par des collectivités publiques (collectivités territoriales ou
administrations de lEtat). Lorsquils interviennent régulièrement,
une convention précisant notamment leur rôle et les conditions de
sécurité doit être passée entre lemployeur (association
ou collectivité publique) et linspecteur de lÉducation
nationale de la circonscription (IEN) ou linspecteur dacadémie,
directeur des services départementaux de lÉducation nationale
(IA-DSDEN), selon le champ dapplication de la convention. Celle-ci est contresignée
par les directeurs des écoles concernées qui en gardent un exemplaire
à lécole.
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Dans les domaines autres que l'éducation physique et sportive et les enseignements artistiques, le directeur d'école délivre aux intervenants, dans tous les cas, une autorisation écrite de participation aux enseignements, valable pour la seule année scolaire, après avis du conseil des maîtres. Il en informe l'IEN. |
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On trouve sur le site Eduscol les références à d'autres textes, concernant en particulier les activités artistiques et sportives.
De
nombreux départements ont précisé les modalités de
la mise en oeuvre de cette circulaire dans leur règlement départemental.
Voir google : intervenants extérieurs à l'école |
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Auprès
des enfants handicapés : des interventions inscrites dans le PPS |
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Des interventions d'ordre médico-social ou d'ordre libéral |
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L'accompagnement
et le suivi des enfants handicapés dans les écoles peuvent être normalement assurés par les AVS (ou les AESH) ou par les personnels des SESSAD. D'autres
personnels peuvent-ils intervenir également, à la demande des familles
? de quelles garanties le directeur d'école ou le chef d'établissement
doit-il s'assurer ? |
Une réponse est apportée par la circ. 2016-117 du 8 août 2016 : l'aide médico-sociale |
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Circ. 2016-117 du 8 août 2016 - 2.6 L'accompagnement médico-social |
Les professionnels non enseignants de l'établissement ou du service médico-social contribuent étroitement à la mise en œuvre du PPS afin d'apporter, par la diversité de leurs compétences et leur formation spécifique, l'accompagnement indispensable permettant de répondre de façon appropriée aux besoins de l'élève. |
Les soins par des professionnels libéraux se déroulent prioritairement dans les locaux du praticien ou au domicile de la famille. Lorsque les besoins de l'élève nécessitent que les soins se déroulent dans l'établissement scolaire, c'est-à-dire lorsqu'ils sont indispensables au bien-être ou aux besoins fondamentaux de l'élève, ce besoin est inscrit dans le PPS. L'intervention de ces professionnels fait l'objet d'une autorisation préalable du directeur ou du chef d'établissement. |
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Note à propos de la responsabilité de l'Equipe de Suivi |
L'équipe de suivi s'entoure bien sûr de garanties avant de laisser pénétrer
dans l'école des intervenants qui ne seraient pas placés sous la responsabilité
d'un service agréé. Quand
il s'agit d'un praticien possédant une qualification d'ordre médical
ou paramédical et intervenant sur prescription médicale, ces garanties
ne devraient pas poser problème. |
En
cas d'incertitude, l'ESS peut consulter la MDPH ou l'IEN-ASH du département. Le médecin de santé scolaire est appelé aussi à faire partie de l'ESS. |
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Note à propos de la responsabilité du directeur d'école |
Il appartient au directeur de l'école,
en liaison avec l'équipe de suivi de la scolarité et avec son IEN,
de juger si l’intervention du professionnel est possible dans les locaux de l’école et sur le temps scolaire, et d'en décider. |
En fait, c'est l'organisation
des interventions dans l'école et leur conciliation avec les exigences
de la scolarité (local, horaires...), qui peuvent parfois soulever des difficultés. Le directeur lui-même ou les représentants des parents peuvent poser la question en conseil d’école. Le Conseil d'école a son mot à dire sur les actions d'inclusion
scolaire dans l'école.
Voir : le Conseil d'école |
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Echanges |
Véronique M. (275)
09-01-18 |
Un enfant qui demande à bénéficier d’une prise en charge en psychomotricité sur le temps scolaire : cela semble poser un problème à l’institutrice...
La MDPH peut-elle préconiser dans le PPS que l’enfant doit être pris en charge sur le temps scolaire pour les séances de psychomotricité ? Ce PPS s’impose-t-il alors à l’éducation nationale ? |
Réponse ISP
13-01-18 |
La meilleure voie à suivre est de prendre la décision en équipe de suivi, quand tous les partenaires sont réunis, y compris le directeur de l'école, puisque le directeur est appelé à décider de la faisabilité des interventions du professionnel dans l'école. . |
Et si la famille n’est pas d’accord avec l’équipe de suivi, elle peut toujours faire appel directement à la MDPH. Je pense qu'alors la décision de la MDPH s'impose, sous réserve toutefois de l'accord du directeur de l'école ou du chef d'établissement. . |
On ajoutera que ces interventions dans l’école évitent souvent bien des fatigues à l’enfant. En outre elles donnent à l’enseignant l’occasion de rencontrer un professionnel et de parler avec lui des difficultés de l’élève. |
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Voir l'exemple des orthophonistes : Travailler
dans un local scolaire ou ci-dessous celui d'une psychologue ABA |
Réponse ISP
13-01-18 |
Il faut sans doute ajouter que les textes officiels concernent surtout les interventions régulières dans l’école. Pour une intervention ponctuelle, on peuit penser que si l’enseignant et le directeur sont d’accord, il n’y a pas de problème. On peut aussi demander l’accord de l’IEN de la circonscription. |
On précisera aussi qu'il faut entendre le mot « soin » en un sens très large. |
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Un peu d'histoire |
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Des
orientations déjà anciennes |
Un bref rappel des textes anciens aide à bien situer la philosophie des interventions de personnels extérieurs à l'école auprès des élèves handicapés. |
La Loi du 11 juillet 1975 sur l'enseignement,
dite "Loi Haby", envisageait déjà que "des spécialistes
extérieurs à l'école" puissent réaliser des interventions
en milieu scolaire, selon le "degré de difficulté" (Article
23), et les circulaires relatives à l'intégration scolaire des 29
janvier 1982 et 1983 invitent les institutions spécialisées et
leurs personnels à favoriser l'intégration scolaire par le moyen,
notamment, des services de soins et d'éducation spécialisés
à domicile.
Note : la circulaire de 1983 est aujourd'hui abrogée. Sur les sessad, on peut voir : qu'est-ce qu'un sessad ? |
Les principes fondamentaux
de l'intégration scolaire sont dès cette date énoncés
dans les textes officiels. Il s'agit d'une part de favoriser l'aide personnalisée
donnée à l'enfant, aide qui peut revêtir notamment une caractère
para-médical, en autorisant "que cette aide soit apportée au
sein même de l'établissement scolaire" mais aussi, et d'autre part
de cadrer cette aide. |
Deux
situations peuvent se présenter. La première, qui a manifestement
les faveurs de l'éducation nationale, consiste en l'intervention de personnels
dépendants d'un service de soin ou d'éducation agréé
(par le ministère de la santé). Il est donc demandé qu'il
soit "fait appel, en tant que de besoin, soit aux personnels du secteur de
l'enfance handicapée et de l'éducation spécialisée
(
) soit aux équipes d'intersecteur de psychiatre infanto-juvénile,
ou plus généralement à tout service agréé pour
apporter des soins ou une rééducation à des enfants handicapés." |
Il peut toutefois être
envisagé aussi, seconde situation, l'intervention des spécialistes
auxquels les familles, à leur initiative, ont recours (...). "Ces
spécialistes interviennent dans l'école avec l'accord du directeur
ou du chef d'établissement après qu'ont été précisées
les conditions de leur participation à la mise en oeuvre du projet éducatif
individualisé. Leurs prestations peuvent être prises en charge par
l'assurance-maladie selon les règles en vigueur."
Voir circ. du
29 janv. 83 (mais circulaire ,abrogée en 2006). |
De telles
interventions, qui paraissent devoir rester exceptionnelles, ne peuvent être
mises en uvre que dans le cadre du projet individuel d'intégration,
mis en place sous la responsabilité du directeur de l'école mais
dont la CCPE (aujourd'hui la MDPH) est garante, et elles ne sauraient être le fait d'un personnel
payé ou salarié par la famille, pour respecter le principe de la
gratuité de l'école. |
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Situation actuelle |
Les circulaires relative aux clis du 30 avril 02 et du 17 juillet 2009, aujourd'hui abrogées, reprenaient les mêmes orientations, qu'on retrouve dans la circulaire relative aux ulis du 21 août 2015. |
Aujourd'hui, en 2017, les
interventions en libéral ne sont
plus exceptionnelles. Ce sont le plus souvent des personnels du secteur para-médical, orthophonistes, orthoptistes, kinésithérapeutes,
ergothérapeutes, qui sont appelés à intervenir dans les écoles auprès des enfants
handicapés. |
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Note
sur l'école comme lieu d'intervention |
Les
personnels paramédicaux ont le droit d'intervenir dans les écoles. |
Code de la santé publique |
Code
de la Santé publique - Article R4341-19
La
profession d'orthophoniste ne peut s'exercer dans les locaux ou les dépendances
des locaux commerciaux.
L'interdiction prévue à l'alinéa
précédent ne fait pas obstacle à l'exercice de cette profession
dans des locaux dépendant d'un établissement sanitaire, social ou
médico-social ou d'éducation, ou dans des locaux aménagés
par une entreprise pour les soins donnés à son personnel. |
Code
de la Santé publique - Article R4342-16
La profession d'orthoptiste ne peut s'exercer dans les locaux ou les dépendances des locaux commerciaux. (suite idem) |
On ne trouve pas, toutefois, d'articles identiques pour les ergothérapeutes ou pour les psychomotriciens. |
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Echanges |
A propos des orthophonistes, voir le débat sur : les orthophonistes à l'école |
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Une psychologue ABA dans la classe : démarches pour y parvenir. |
Sonia O.
22-10-14 |
Je suis maman d'un petit garçon de 6 ans présentant des troubles envahissant de développement, scolarisé à temps plein en classe de cp à raison de 12 heures d'AVS par semaine.
Mon fils n 'a pas de problèmes cognitifs ni intellectuels il est même lecteur précoce mais souffre d'anxiété et d'angoisses qui le poussent à s'agiter, ça fait partie de ses troubles de communication, c'est pour cette raison qu'on a fait appel à une intervenante ABA spécialiste des trouble du comportement à domicile pour faire face à ces difficultés ; cette personne nous a proposé d'intervenir à l'école pour pouvoir généraliser les apprentissages et arriver vers l'autonomie souhaitable. Notre demande auprès du directeur et l'enseignent référent à été rejetée sans aucune explication sauf que c'était interdit et que l'inspecteur académique refuse. |
Réponse ISP
24-10-14 |
En fait beaucoup de choses sont possibles, mais avec l’accord du directeur, ou de l’Inspecteur, qui restent maîtres d’autoriser ou non la présence d’un intervenant dans la classe.
Voyons donc ce que vous pouvez faire. |
A la clé de toute intervention, il y a le PPS. Le mieux serait donc obtenir que l’intervention de la formatrice ABA soit inscrite dans le PPS. Il faudrait pour cela demander à l’enseignant référent d’organiser une réunion. Et vous savez que vous avez le droit d’inviter la personne de votre choix à cette réunion de l’équipe de suivi. Vous pourriez donc y inviter la formatrice ABA, qui pourrait expliquer le sens de ses interventions.
Si l’enseignant référent refuse, vous écrivez directement à la MDPH pour demander une modification du PPS sur ce point. |
Bien entendu, il est préférable d’en parler d’abord avec l’enseignante de la classe, car si elle n’était pas d’accord, il serait difficile de lui imposer la formatrice dans sa classe. Mais vous me dites qu’elle est demandeuse. Alors pour vous, c’est déjà un gros atout. Je pense qu’elle a compris que pour elle ce serait une aide et qu’elle aurait tout à y gagner. |
Reste à convaincre le directeur.
Il dit que l’Inspecteur d’Académie refuse. En fait, ça m’étonnerait. Demandez lui de vous mettre cette réponse par écrit. Il ne le fera pas !
S’il ne change pas d’avis, il faut dans un premier temps faire appel à son IEN et/ou à l’IEN-ASH du département. Vous trouveriez dans mon site la liste de la plupart des IEN-ASH et leurs coordonnées, page
http://scolaritepartenariat.chez-alice.fr/page32.htm > cliquer sur le département
Vous lui demandez d’intervenir.
Il sera certainement d’accord. S’il ne l’était pas, vous me le ferez savoir, je vous indiquerai d’autres pistes d’action. |
Je vous ai parlé des conditions éventuelles. Elles concernent la formatrice ABA. L’école et l'ESS exigeront des garanties, c’est normal : quel est son diplôme ? Et est-elle envoyée par une association reconnue par l’éducation nationale ? C’est un point important.
Et deuxièmement, comment est-elle rémunérée ? Il ne faut pas, au nom de la gratuité de l’école, que ce soit les parents qui payent un intervenant. Alors est-elle payée par une association ou par un autre organisme ? (Vous pouvez éventuellement rembourser l’association, mais c’est un autre problème, qui ne concerne plus l’éducation nationale…). |
Sonia O.
17-12-14 |
A la rentrée scolaire la réponse de l'enseignant référent était qu'il n'était pas possible qu'un intervenant libéral puisse intervenir en temps de classe, j'ai renouvelé ma demande à la directrice qui m'a répondu qu'elle devait voir avec sa hiérarchie ; par la suite la réponse était négative car seuls les sessad sont autorisés. Je vous ai contacté pour m'éclairer, vous m'avez proposé d'aller sur la piste des IEN-ASH . |
J'ai de suite contacté les ASH de Seine et Marne, j'ai eu le chargé de mission des TED qui m'a confirmé que c'était faisable dans le cadre d'un PAI mais il fallait l'accord de la directrice et de l'enseignant, mais il m'a promis de contacter la référente qui m'a de suite rappelé pour dire qu'il fallait voir avec l'inspectrice. J'ai envoyé un courrier à l'inspectrice de la circonscription lui expliquant la situation de mon fils TED, ses difficultés et la raison de notre demande, et j'ai été étonnée d'avoir sa réponse positive par mail et me citant la circulaire qui l'autorise sous réserve d'avoir l'accord de l'enseignant et de la directrice - qui étaient favorables - et me proposant une ESS le plutôt possible où elle sera présente. |
Cette réunion a eu lieu. j'étais accompagnée par la présidente d'une association de parents Association militante à qui je témoigne de leur efficacité sur le terrain, qui vient en grande aide aux parents d'enfants handicapés.
Le jour de la réunion on a parlé des modalités , il faut un planning de jours fixes que la psychologue doit fournir et c'est bon pour la signature.
Merci pour votre aide. |
Réponse ISP
24-10-15 |
Bravo pour ce résultat positif. Évidemment, il faut de la persévérance.
Il est parfois plus utile de connaître le fonctionnement local de l'Education nationale que d'aller manifester devant l'Elysée ! |
Note ISP
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Nouveau : la circulaire 2016-117 du 8 août 2016 (2.6)
Cette circulaire facilite l'intervention des professionnels libéraux dans l'école, sous certaines conditions, notamment si le besoin en est reconnu par la MDPH. |
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Un ergothérapeute dans l'école ? |
février 04 |
Un
ergothérapeute dans l'école ? |
La directrice de l'école
et son Inspectrice s'opposent à l'intervention de l'ergothérapeute
auprès de notre enfant dyspraxique dans l'école. Notre enfant a
deux séances d'ergothérapie par semaine, il est parfois fatigué,
et nous souhaiterions que l'ergothérapeute puisse le prendre en charge
au moins une fois pendant le temps scolaire. La Directrice et l'Inspectrice ont-elles
le droit de le refuser ? |
Laura
12-10-12 |
Mais les situations évoluent |
Oui j’interviens essentiellement dans les écoles (écoles, CLIS, ULIS, collèges), pour l’instant je n’ai pas eu de problème. J’essaie de mettre les séances sur des temps de permanences ou “vie de classe” afin de moins pénaliser le jeune...
Laura - ergothérapeute (44) |
Leila M.
09-10-13
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Je ne connais pas le texte mais j'ai eu le cas avec mon ergo qui voulait intervenir à l'école.
=> Sur le temps scolaire, c'est le chef d'établissement qui décide.
=> Sur le temps extra scolaire (11h30 ---> 13h20 et 16h30 ---> 18h), c'est la mairie qui décide.
Donc si le chef d'établissement refuse, il faut essayer de comprendre pourquoi. Après tout, il a peut être de bonnes raisons? S'il faut le contourner, tu peux prendre RDV avec l'ergo de 11h30 à 12h30, et le chef d'établissement n'a plus son mot à dire, tu fais signer une autorisation à la mairie, service des activités extra scolaires (la régie quoi).
C'est ce que m'a expliqué ma directrice il y a 15 jours... |
Aurélie
09-10-13
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Il n'y a effectivement aucune loi obligeant les établissements à permettre aux paramédicaux d'intervenir sur le temps scolaire, bien que l'on puisse interpréter la loi de 2005 en faveur de l'intégration du handicap dans ce sens...
Il existe une convention en Seine Saint Denis intitulée : convention individuelle relative aux élèves handicapés scolarisés en classe ordinaire avec un projet personnalisé de scolarisation. Elle est en pièce jointe.
Ce document émane de l'académie de Créteil, et dans certains établissements j'ai été amenée à la signer, mais ce n'est pas automatique. Pour vous donner une idée, on ne me l'a fait signer qu'une seule fois alors que je suis intervenue dans une bonne vingtaine d'écoles à ce jour.
Le syndicat des ergothérapeutes libéraux a établi une convention également accessible à ses membres, mais le refus d'intervention à l'école reste un problème qui est souvent évoqué par mes collègues. |
Mise à jour : 13/01/18
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