LES ÉTABLISSEMENTS
ET LA SCOLARISATION |
présentation |
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de cette page : http://scolaritepartenariat.chez-alice.fr/page164.htm
Les
établissements et l'intégration individuelleDe
l'ime à l'école voisine ou à l'établissement scolaire
voisin....
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Depuis la
loi du 11 février 2005 et dans la logique de cette loi, les établissements du secteur médico-éducatif ont été incités à faire davantage dans le sens de "l'intégration
scolaire", individuelle ou collective. |
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Les textes d'application de la loi, et notamment le décret du 2 avril 2009 et de l'arrêté du 2 avril 2009, relatifs à la collaboration entre établissements et aux unités d'enseignement, marquent une nouvelle étape de ce mouvement en faveur de l'inclusion scolaire. |
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Nous traiterons dans cette page des
inclusions individuelles et dans la page suivante des classes délocalisées. |
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Avant la parution du décret et de l'arrêté du 2 avril 2009 |
La loi de 2005 stipulait qu'un 'élève accueilli dans un établissement ou un service du secteur médico-éducatif reste inscrit dans son établissement scolaire de référence. (art 19-III) |
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Les textes ont précisé depuis
- que l'élève peut éventuellement être inscrit dans une
école ou dans l'un des établissements scolaires autre que son école ou son établissement
de référence et proche de l'établissement où ils sont
accueillis. Les conditions permettant cette inscription et cette fréquentation sont fixées par convention entre les autorités académiques
et l'établissement. (Code ASF article D312-10-5) |
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et que le directeur de l'établissement doit s'assurer que les parents en sont informés (code ASF article D312-10-2). |
Mais il était prévu aussi que l'enfant affecté dans un établissement médico-éducatif, pouvait être scolarisé à temps partagé dans un établissement scolaire ordinaire. (Décret 2005-1752 du 30 décembre 2005 abrogé et repris dans le code de l'éducation). |
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Code de l'Education - D351-4
Sa scolarité peut alors s'effectuer, soit dans l'unité d'enseignement, définie à l'article D. 351-17 du présent code, de l'établissement dans lequel il est accueilli, soit à temps partagés dans cette unité d'enseignement et dans son établissement scolaire de référence, soit à temps partagés dans cette unité d'enseignement et dans l'une des écoles ou l'un des établissements scolaires avec lesquels l'établissement d'accueil met en oeuvre une coopération dans les conditions prévues par la convention mentionnée à l'article D. 351-18 du présent code. Dans ce dernier cas, l'élève peut être inscrit dans cette école ou cet établissement scolaire. |
La
circulaire relative au PPS évoque de son côté la possibilité
d'une scolarisation "en alternance" (voir ci-dessous). |
Note
ISP |
Et de fait,
certaines MDPH commencent à imposer un type de fonctionnement en alternance
à des IME et à des écoles. Mais il ne suffit pas d'imposer
pour que ce soit une réussite... En voici un exemple |
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MDPH
et intégration scolaire |
N.
15-11-08 |
Notre
IME ne s'était pas engagé dans la voie de l'intégration scolaire,
mais depuis 2006 la MDPH a prononcé quelques affectations à mi-temps,
un 1/2 temps en IME, 1/2 temps en clis, qui mettent l'établissement et
la clis devant le fait accompli. La MDPH laisse ensuite l'IME et la clis se débrouiller,
en les renvoyant à l'enseignant référent. La suite dépend
de l'enseignant référent : sur un secteur, l'enseignant référent
s'implique pour favoriser le partenariat entre IME et clis, sur un autre secteur
l'enseignant référent (débordé ?) laisse faire. En
fait, l'IME n'est pas habitué à ce genre de pratique et l'éducation
nationale non plus. Bref il y a deux mi-temps juxtaposés, mais pas de
projet global. L'instit de la clis aussi se trouve isolée. On se dit
qu'on va se rencontrer... |
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Des recommandations officielles |
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Circ.
relative au PPS du 17 août 2006 - I. 3. B
(Un cas de figure
:) lélève est scolarisé en alternance dans un établissement
scolaire (...) et dans lunité denseignement dun établissement
médico-social ou sanitaire. Lorganisation de son emploi du temps
revêt un caractère particulièrement important et souvent complexe
à mettre en uvre (...) (On recherchera) un partage du temps qui
donne la priorité à la scolarisation au sein de létablissement
scolaire de référence, même si cela doit être obtenu
de façon progressive. En effet, une fréquentation
occasionnelle ou réduite à quelques heures par semaine de cet établissement
serait contraire à lidée même de projet personnalisé
de scolarisation. (...) |
Dans
le même sens : une réponse ministérielle du 13-11-07 |
J.O.
Question
N° : 1352 |
(...)
200 UPI supplémentaires ont été ouvertes dès la rentrée
2007 portant leur nombre à plus de 1 200. Afin d'accompagner l'ouverture
de ces nouvelles UPI, le ministère de la santé a programmé
la création de 1 250 places supplémentaires dans les services d'éducation
spéciale et de soins à domicile en 2007. Ces mesures devraient favoriser
la mise en oeuvre d'une solution scolaire véritablement adaptée
aux besoins des élèves présentant un handicap. S'ajoutant
au renouvellement à venir des conventions entre les organismes gestionnaires
des établissements médico-éducatifs et les autorités
académiques, afin de favoriser des coopérations plus étroites
entre les établissements spécialisés et les établissements
scolaires, elles devraient notamment permettre à un plus grand nombre
de jeunes de fréquenter à la fois un établissement scolaire
et un établissement médico-social
Voir JO
du 13-11-07 page 7079 |
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Témoignage d'une maman : une
initiative originale |
Karine
17-12-08
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Je
suis maman de Salomée atteinte de cytopathie mitochondirale, maladie génétique,
elle est âgée de bientôt 11 ans. Depuis 4 ans elle va à lIEM
«Le Coryphé » sur Viriat, une commune près de Bourg
en Bresse dans lAin. Elle y est prise en charge à la journée
du lundi au vendredi. Cette année lIEM a été visité
par un représentant de léducation nationale pour savoir si
des enfants de linstitut seraient susceptibles dintégrer lécole
publique du village, sur un temps prédéfini après avoir vu
les enfants, les éduc, lécole du village, pour avoir un moment
de sociabilisation. Ma fille fait partie des 2 enfants qui profitent de 30 mns
en fin de journée de laccueil dune classe de grande section
de maternelle. Ma fille est ravie de sortir du contexte de linstitut, de
voir autres choses, dautres enfants qui eux sont valides, de partager des
temps de comptine, dactivités manuelles, de chansons, avec de nouvelles
têtes blondes. Le projet a mis un an avant de prendre forme. Cest
la première fois que ça arrive à linstitut du coup
il a fallu des temps de réflexions de toute part. Moi jétais
ok à 100%, sachant que Salomée avait déjà fait quelques
années des écoles publiques de village avant dintégrer
linstitut. |
19-12-08 |
Un temps dintégration de sociabilisation de 30 mns
par semaine, - le mardi de 15h45 à 16h15- au début je trouvais cela
court, nos enfants on besoin de repères, de temps pour se sentir à
laise. Et en fait ça se passe super bien. La maitresse et les enfants
sont heureux de les accueillir, et nos enfants "extraordinaires" sont
heureux daller à "lECOLE". |
Je
réponds à vos questions : est-ce que cela pose un problème
le décalage que ma fille a 11 ans et quelle est reçue dans
une classe de maternelle ? Non pour plusieurs raisons, Salomée ne marche
pas, elle se déplace au sol à saute lapin, sinon sur son fauteuil
roulant manu, donc elle est toujours à la hauteur des autres enfants,
et ça cest important que lon garde cette même hauteur,
par respect de chacun. |
Et quand elle va
à lécole maternelle, est elle accompagnée par une éducatrice
de l'IEM qui reste avec elle et lautre petit garçon. Cest lIEM
qui assure les transports, ils ont des véhicules de transports propres
à linstitut. Quand il fera plus chaud ils pourront aussi y aller
à pied/fauteuil, car cest tout prêt. |
Témoignage d'une enseignante |
Barbara
27-06-13 |
Nous avons cette année un élève de l'IME qui vient en classe au sein de la CLIS. Il progresse énormément car à l'école la partie soin ne peut pas se faire aussi bien ni la prise en charge éducative. A l'Ime il a appris beaucoup de choses. l'équipe est bienveillante et répond à certains besoins précis .
A l'école, il montre maintenant une vraie posture d'élève. Il écrit et commence à lire.
A la maternelle toute la journée, il était en souffrance, était devenu agressif et n'arrivait à rien mais le passage par l'IME a été bénéfique.
Le mi-temps avec la CLIS a été proposé et ce projet marche pour l'instant. |
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Depuis la parution du décret et de l'arrêté du 2 avril 2009 |
Le décret et l'arrêté du 2 avril 2009 concernent principalement les rapports entre les Unités d'Enseignement des établissements et les établissements scolaires ordinaires. Ils envisagent notamment que l'Unité d'Enseignement soit organisée, à temps plein ou à temps partiel, dans un établissement scolaire ordinaire. Mais les textes favorisent aussi les incluisions individuelles. |
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Code
de l'Education - D351-4
Sa scolarité
peut alors s'effectuer, soit dans l'unité d'enseignement (...) de l'établissement
dans lequel il est accueilli, soit à temps partagés dans cette unité
d'enseignement et dans son établissement scolaire de référence, soit à temps partagés dans cette unité d'enseignement
et dans l'une des écoles ou l'un des établissements scolaires avec
lesquels l'établissement d'accueil met en oeuvre une coopération dans les conditions prévues par la convention mentionnée à
l'article D. 351-18 du présent code. Dans ce dernier cas, l'élève
peut être inscrit dans cette école ou cet établissement scolaire. |
Et dans
le même temps, il est prévu -
ce qui est nouveau par rapport à la circulaire de 78, - qu'une convention
précise les modalités de coopération entre l'établissement
médico-éducatif et les écoles et établissements scolaires
qui sont les référents de leurs élèves et/ou qui en
scolarisent certains, à temps partiel ou à temps plein. |
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Code
de l'Education - D351-18
La
convention précise notamment (...) les modalités de coopération
avec les écoles ou les établissements scolaires mentionnés
au premier alinéa de l'article L. 351-1, (...). |
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Quelques exemples de réalisations en ce sens. |
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De l'IME à l'école : des problèmes d'accompagnement |
Mme Z.
(27)
01-08-16 |
Ma fille, polyhandicapée, est affectée à un EPEAP (Etablissement pour Enfants et Adolescents Polyhandicapés).
Je souhaiterais à présent, car elle a fait de réels progrès, qu'elle puisse fréquenter, si possible à mi-temps, une école maternelle voisine. La directrice de l’école est d’accord, mais il faut que ma fille soit accompagnée. |
Dans un premier temps, le directeur de l’EPEAP a dit ne pas pouvoir détacher un éducateur auprès de ma fille pour l’accompagner à l’école ; et à la MDPH on m’a dit qu’il n’était pas possible d’attribuer un AVS auprès d’un enfant déjà affecté en EEAP. Une ESS est prévue à la rentrée. Que me conseillez-vous ? |
ISP
02-08-16
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L’ESS peut en effet proposer une inclusion en classe ordinaire, et en indiquer la durée, par exemple comme vous le souhaitez un mi-temps organisée par demi-journées (tous les matins à l’école et les après-midi à l'EEAP) ; mais le problème reste celui de l’accompagnement de l’enfant. |
Les textes officiels préconisent la nécessaire collaboration entre les établissements du secteur médico-éducatif et les établissements scolaires en vue de la scolarisation en milieu ordinaire des enfants affectés en établissement du secteur médico-éducatif. Voir décret 2009-378 du 2 avril 2009, notamment l’article D312-10-6
Cet article prévoit qu’une convention soit passée entre les établissements. Les conclusions de l’ESS, signées par les représentants des deux établissements, peuvent en fait servir de convention.
Il est dit que ce document doit prévoir « les moyens mis en œuvre par l’établissement au sein de l’école ». Ainsi donc, c’est l’EPEAP qui devrait assurer l’accompagnement de l’enfant à l’école. |
Mais il n’est pas dit ce qui se passe si l’EPEAP estime qu’il n’a pas les moyens d’assurer cet accompagnement. Il n'est pas dit non plus que la MDPH ne peut pas attribuer d'AVS pour les temps de scolarisation, et on peut penser que l’accompagnement d’un enfant polyhandicapé, qui a des problèmes moteur, crée une situation particulière que la MDPH peut prendre en compte. |
Dans un premier temps, donc, le mieux est d'attendre les conclusions de l'ESS, et je vous recommande de rencontrer à l’avance l’Enseignante référente du secteur scolaire, qui doit organiser cette ESS.
Et ensuite, si aucune possibilité d'accompagnement ne se dégage, voici quelques voies de recours.
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Si l’enseignante référente émet des réserves, contacter l’IEN-ASH du département (Inspecteur de l’Education nationale chargé de la scolarisation des élèves handicapés).
(voir : quelques adresses > département)
Si c’est la MDPH qui refuse l’attribution d’un AVS, faire appel au conciliateur de la MDPH
(voir conciliation )
Si vous n’obtenez toujours rien, faire appel à l’IEN-ASH conseiller du recteur
(voir IEN-ASH conseiller des recteurs )
Je vous recommande aussi de contacter une association de parents d’enfants polyhandicapés : ils ont peut-être déjà rencontré ce problème. Voyez par exemple : polyhandicap |
Cendrine C.
(05)
02-08-16 |
J'ai fait une intégration scolaire avec un enfant en ime (mais non polyhandicapé), il y a quelques années, et avec une avs, pas sur des mi temps mais quelques heures par jour.
Aujourd'hui mon fils a 16 ans, il est en 3ème... |
ISP |
Je crois que l'EEAP serait prêt à accorder deux ou trois heures par semaine, mais pas un mi-temps. |
Anne-Laure Z.
02-08-16 |
Dans l'établissement où je travaille nous avons eu cette expérience 2 fois. C'est bien l'établissement qui a fourni la personne qui accompagnait l'enfant.
(...) Il y a peut-être une solution de "réorientation" auprès de la MDPH avec un temps partiel dans l'EEAP et un temps partiel à l'école... |
ISP
02-08-16 |
Je crois qu’en effet il appartient à l’établissement d’assurer l’accompagnement de l’enfant sur les temps scolaires. Le décret du 2 avril 2009 va dans ce sens. Mais la question porte
sur la possibilité de l’attribution d’un AVS sur les temps scolaires.
Votre suggestion d'une réorientation est intéressante. |
Stéphanie R.
03-08-16 |
J'ai accompagné une jeune fille qui est affectée à un sessad. Et il nen sera de même pour la prochaine année scolaire.
Stéphanie - AESH |
Roman
(74)
12-10-16 |
Mon fils fréquente un EEAP et je n'ai pas connaissance que cela existe.
Par contre depuis la rentrée de septembre, une enseignante spécialisée est présente à temps plein dans l'établissement pour mettre en place des temps d'apprentissage auprès du plus grand nombre, peut être avec des transferts partiels dans des écoles . Je n'en sais pas plus mais j'ai prochainement une réunion d'information sur le sujet. |
ISP
13-10-16 |
Je pense que votre réponse va dans le sens des orientations actuelles. Les textes soulignent la mission d'aide à l'inclusion scolaire des Unités d'Enseignement. D'autres personnels de l'établissement, également responsables de la mise en oeuvre du PPS, peuvent y participer. Mais effectivement il n'est pas prévu qu'un AVS accompagne un enfant inscrit dans un établissement. |
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Les aides à l'inclusion scolaire individuelle des élèves des Unités d'Enseignemnet |
L'arrêté du 2 avril 2009 fait état des aides que les enseignants de l'Unité d'Enseignement peuvent être amenés à apporter à leurs élèves en inclusion scolaire dans les classes ordinaires. Cette aide fait partie de leurs missions. Elle est mentionnée dans le PPS |
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Arrêté du 2 avril 2009 - art. 2 |
e) Les moyens d'enseignement dont sont dotées les unités d'enseignement (...) sont fixés par l'inspecteur d'académie (...) qui tient compte notamment :
― du nombre d'élèves scolarisés au titre de l'unité d'enseignement, que cette scolarisation ait lieu au sein des locaux de l'établissement médico-social ou de santé ou bien qu'elle prenne la forme d'actions de soutien aux élèves par les enseignants de l'unité d'enseignement, dispensées dans l'établissement scolaire de ceux-ci ;
(...)
― des modalités de déroulement de la scolarité et des objectifs inscrits dans les projets personnalisés de scolarisation ; |
et l'instruction du 23 juin 2016 relative aux UEE (Unités d'Enseignement Externalisées) évoque aussi les dispôsitions relatives à l'inclusion en classe ordinaire. |
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Les établissements et l'intégration extra-scolaire |
La
loi du 11 février 2005 engage "les familles, l'Etat, les collectivités
locales, les établissements publics, les organismes de sécurité
sociale, les associations, les groupements, organismes et entreprises publics
et privés (à associer leurs interventions en vue notamment d'assurer)
laccès de lenfant, de ladolescent ou de ladulte
handicapé aux institutions ouvertes à lensemble de la population..." (Art. 2 - L114-2) |
La
mission d'aide à l'intégration du secteur médico-éducatif
ne se limite donc pas à l'intégration scolaire. Elle concerne aussi
notamment les loisirs. Nous évoquons cette aspect dans la partie du site
"Petite enfance et périscolaire" |
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Voir un exemple en région parisienne d'intégration de jeunes d'un IME dans un c entre de loisirs et leur accompagnement par des personnels de l'IME : De l'IME au Centre de loisirs |
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Mise à jour : 12/10/16
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