L'INCLUSION
INDIVIDUELLE |
échanges |
Adresse de cette page : http://scolaritepartenariat.chez-alice.fr/page70.htm
INTÉGRATION
INDIVIDUELLE ET DIFFICULTÉS DES ENSEIGNANTS
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| L'intégration
individuelle s'est régulièrement développée au cours
des dernières années, et il est à prévoir que les
nouvelles dispositions en faveur de la scolarisation des enfants handicapés,
ou de "l'école pour tous", vont lui donner une nouvelle impulsion. |
| L'intégration
individuelle repose dans presque tous les cas sur un projet individuel d'intégration
(appelé à devenir projet personnalisé de scolarisation) mis
en place dans le cadre de l'équipe éducative et souvent à
l'initiative de la CCPE. Toutes les difficultés que peuvent rencontrer
les enseignants ne sont pas réglées pour autant. Nous leur consacrons
cette page d'échanges. |
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(Nous
avons présenté le projet individuel d'intégration
- devenu PPS (Projet Personnhalisé de Scolarisation)
- et l'équipe éducative dans la partie
consacrée au rôle des directeurs d'école). |
F | Le
Ministère de l'éducation nationale a mis en place une cellule
d'écoute destinée aux familles ainsi qu'aux enseignants en difficulté
face aux problèmes de la scolarisation des enfants et des jeunes handicapés.
Numéro azur Handiscol : 0 810 55 55 01 |
F | Les
enseignants peuvent aussi échanger - sur certains forums d'enseignants,
par exemple http://forums.cartables.net/forum/
> causeries > enseignement spécialisé > intégration
des enfants handicapés - ou sur certaines listes de diffusion, par exemple
la liste integration-scolaire (pour s'inscrire, voir http://scolaritepartenariat.chez.tiscali.fr/page21.htm#integration-scolaire
) - ou en nous écrivant... |
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Parfois, un
peu d'imagination... |
Sylvie orthophoniste 08/06/06 |
Je
suis actuellement un jeune garçon de 8 ans qui a certes des difficultés
à entrer dans l'écrit, mais qui excelle en mathématiques. L'enseignant
a instauré un système de binôme où ce jeune garçon
prend confiance en lui et a des bénéfices à se positionner
en tant qu'élève "qui sait et qui montre à un enfant
plus en difficulté que lui ".
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Je
vais accueillir un petit enfant trisomique 21, j'en suis ravie, mais...
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Françoise
Q. 31/05/06
| A la rentrée 2006, je
vais accueillir un petit enfant trisomique 21, j'en suis ravie, mais une question
importante me taraude : comment accueillir cet enfant dans les meilleures conditions
avec un effectif prévu de 29 élèves en petite section de
maternelle ? (Ce nombre risquant d'augmenter au cours de l'année, puisque
je termine cette année scolaire avec 31 élèves). Existe-t-il
un texte qui prenne en compte cet élément non négligeable
? Je précise que j'ai un petit cousin qui présente ce même
handicap, je ne suis donc pas affolée à l'idée d'accueillir
cet enfant, mais je me fais vraiment du soucis quant à son bien-être
et à ma disponibilité à son égard. |
Il
est tout à fait compréhensible que les parents désirent intégrer
leurs enfants mais on ne pense pas toujours à exiger les conditions idéales
à cette intégration, l'institutrice supportant alors seule la surcharge
de travail et de stress qu'apportent ces nouvelles conditions d'enseignement... |
Réponse
ISP 05/06/06 | Je
vous recommanderai d'abord de travailler en collaboration avec les professionnels
qui suivent l'enfant et je vous conseille d'inviter les parents à demander
à la MDPH l'élaboration d'un PPS (Projet personnalisé
de scolarisation). Ne prenez pas le PSS comme une contrainte administrative,
mais comme le cadre d'un travail partenarial dont vous reconnaîtrez l'intérêt.
|
Quant au fait que vous ayez
une petite section de 30 élèves avec un jeune trisomique, c'est
effectivement assez lamentable de la part de l'éducation nationale. Trente
enfants "ordinaires" en petite section c'est déjà beaucoup
(trop). Mais un enfant trisomique sera particulièrement attaché
à vous, il aura besoin d'une attention particulière... |
Comment
le Conseil d'école réagit-il ? Je vous rappelle qu'il a son mot à dire sur les conditions de bonne intégration des enfants handicapés.
Voir conseil d'école Article D411-2 du code de l'Education 3.c |
Les
effectifs maximaux des classes, à ma connaissance, ne sont fixés
par aucune réglementation nationale. Ils peuvent par contre être
fixés dans le règlement départemental. Chaque année
aussi les inspecteurs d'académie indiquent des critères pour décider
des ouvertures ou des fermetures de classe dans le cadre de la carte scolaire.
Je ne sais pas ce qu'il en est dans votre département. |
Quant
aux autres aides que vous pourriez recevoir, - il y a peut-être celle
d'une AVS... Mais il faut trouver celle qui saura respecter et favoriser l'autonomie
de l'enfant. Et personnellement, je ne pense pas que ce soit nécessaire
pour un enfant trisomique . - s'il y a un sessad - c'est la meilleure formule
- il se peut que l'éducateur du sessad, accompagne l'enfant en classe pour
certaines activités (la cuisine...). Ce peut être commode. - il
y a aussi, les EVS, que le directeur de l'école
peut demander. C'est une aide à la classe, une sorte d'ATSEM supplémentaire
! Mais ces gens n'ont aucune formation. |
|
L'état d'esprit
des enseignants... |
Mère
et enseignante
04
mars 06 | Notre fils a 12
ans bientôt, il est encore en CM2 et son parcours tout comme le nôtre
a été et est encore celui du combattant. Il est DYS... dyspraxique
atteint du SDNV, de troubles de la mémoire, de dyscalculie, de dyslexie
et ... j'en passe. Son handicap fait partie de ce que l'on appelle ( pudiquement
?) un handicap invisible. Il est d'ailleurs tellement invisible que ses enseignants
ont eu un mal fou à le voir. Certains médecins aussi. Réaliser
les efforts qu'il doit faire pour tenter de suivre, d'apprendre ne peut se faire
sans une prise de conscience du monde dans lequel il vit. Mais il est propre sur
lui, souriant, agréable. |
Je
désire que les enseignants puissent suivre une vraie formation afin
qu'on les sensibilise à tous les écueils qu'ils peuvent mettre (
sans le vouloir ) dans sa journée de classe. Je ne les condamne pas, je
les excuse. Ils ne sont pas formés. Je suis institutrice et je compte sur
vous pour faire passer mon message car le rapport Ringard et les toutes instructions
du monde ne suffisent pas. Il y a beaucoup d'enfants comme notre fils et je
ne suis pas formée pour les aider. |
Réponse
ISP 7
nov. 05 | Votre message
est certainement assez significatif de l'état d'esprit d'un certain nombre
d'enseignants (...) . Il serait utile de tenter de préciser, à partir
de votre expérience, ce que pourrait être une formation appropriée.
S'il ne s'agit pas d'enseignants spécialisés, on peut sans doute
imaginer des aides et des formations légères : un spécialiste
qui vient régulièrement voir l'enfant et l'institutrice, un stage
auprès d'un collègue ayant une expérience auprès d'enfants
ayant les mêmes difficultés, un module de formation dans un centre
de l'AIS, des stages dans le cadre du plan académique de formation continue,
l'accès à des documents ad hoc... Sans parler de l'aide qu'apportent
parfois les spézcialistes dans le cadresq du projet d'intégration
individuel. De toute façon, la formation exige toujours un effort, il ne
suffit pas de l'attendre... |
Il
y a des lieux de dialogue, mais ils sont rares dans l'Education nationale... Je
vous recommanderais d'une part d'adhérer à une association de
parents, pour entrer dans une démarche collective (si votre enfant est
dyspraxique, vous connaissez sans d'outre l' Association Dyspraxique Mais Fantastique
http://www.dyspraxie.info ), et éventuellement de vous inscrire sur une
liste de diffusion par exemple "integration-scolaire".
Le courrier que vous m'adressez pourrait très bien être diffusé
sur une telle liste. |
Je
pense que pour faire entendre de vos supérieurs administratifs, et pour
leur rappeler que ces problèmes existent, le mieux serait de tout faire
pour demander à participer vous-même à des formations spécialisées...
C'est un des endroits où vous rencontreriez des personnes qui y sont sensibles... |
|
Quand l'enfant ne
progresse pas... |
Christiane professeur des
écoles 5
nov. 05 | Né en 2000, lenfant
que jaccueille en P.S. M.S. est atteint de la maladie de Rubinstein-Taby.
Il est accompagné dune AVS 4 demi journées par semaine. Il
est suivi par une orthophoniste, une psychomotricienne. Lintégration
se passe très bien dans la mesure où lenfant est accepté
et ne pose nul problème de comportement agressif ou autre, mais
on ne peut pas parler dintégration à 100% puisque cet
enfant vit à côté des autres par manque de communication.
Cet enfant progresse très, très, très lentement : il faut
sans cesse revenir ce qui a été vu car rien nest définitivement
acquis. Nous piétinons. |
Il
est actuellement en M.S. avec un projet individualisé. |
Réponse
ISP 7
nov. 05
| >
la maladie de Rubinstein-Taby En cherchant sur Google
"syndrome de Rubinstein-Taby", vous trouverez des informations sur cette
maladie orpheline... Ce n'est pas très encourageant pour l'avenir scolaire
de l'enfant... |
| Jai
lu et parcouru les documents relatifs à lintégration scolaire
mais je nai absolument rien trouvé concernant le rôle et lattitude
de lenseignant face aux difficultés quil peut rencontrer dans
lexercice de son métier. Un enseignant doit-il devenir spécialiste
? |
Voici quelques questions
: |
-
un intervenant extérieur est-il en droit dexiger que lenseignant
sapproprie et sinvestisse personnellement dans des techniques de communication
quil ne connaît pas ? |
| Certainement
pas. Un intervenant extérieur - en l'occurrence, sans doute, un professionnel
de secteur médical ou para-médical - n'a pas à imposer à
l'enseignant des techniques pédagogiques que lui-même n'a peut-être
jamais pratiquées. Son rôle est de vous expliquer les difficultés
particulières de l'enfant et ses capacités sur lesquelles on peut
prendre appui. Mais bien entendu, la relation partenarialet ne se pose pas en
termes de "avoir le droit" ou pas. Le fondement du partenariat, à
mon sens, c'est la définition des objectifs qu'on peut raisonnablement
se fixer ensemble pour l'enfant (et que chacun essaiera d'atteindre avec ses propres
techniques). (J'ai essayé d'expliquer cela à la page "les
règles du jeu du partenariat"). |
Sur
cette base, rien n'empêche de parler des méthodes utilisées
par les uns et les autres. Mais même si vous êtes effectivement convaincue
de l'intérêt de telle technique spécifique, - par exemple
le braille auprès d'un enfant aveugle, la LSF pour un enfant sourd, le
PECS pour un enfant autiste, le makaton pour un enfant dysphasique... - vous n'êtes
pas pour autant dans l'obligation de l'assimiler et de la mettre en oeuvre. |
Il
y a une réponse sur ce dernier point dans la circulaire récente
sur les enfants autistes. Je cite : "En outre, il convient de souligner que,
si des méthodes spécifiques sont parfois préconisées
pour aider les enfants autistes à réaliser des apprentissages, dune
part, ces méthodes, privilégiant des interactions duelles, ne
sauraient être imposées à un enseignant même sil
peut utilement sen inspirer dans certaines situations, dautre part,
la démarche pédagogique dun enseignant ne saurait se réduire
à lapplication exclusive dune méthode difficilement
compatible en outre avec une pratique pédagogique dans un contexte collectif."
(voir la circulaire du 8 mars 05 et son commentaire
). |
C'est clair, et ça
peut s'appliquer à d'autres handicaps. |
| >
Que faire : quand l'enfant ne parvient pas à acquérir les compétences
scolaires du cycle auquel il est affilié par manque de langage, mémoire,
images mentales, fatigabilité. ? |
| Un
enfant handicapé est un enfant qui bénéficie d'une scolarité
aménagée, notamment dans ses objectifs. C'est précisément
la raison d'être du projet individuel d'intégration. Concernant votre
élève, donc, il faut vous reporter au projet individuel : la classe
était-elle envisagée comme une simple garderie ou attendait-on un
peu plus, du point de vue de la "socialisation" - quelques échanges
avec les autres, au moins quelques réactions indiquant une participation
à ce qui se passe dans la classe ? - et/ou du point de vue des apprentissages
- le langage, le maintien des objets, la graphie (et sachant que la socialisation
est aussi un apprentissage) -... |
Si
vous-même pensez que les objectifs indiqués dans le projet sont illusoires
et que lla présence en classe ne conduit à rien, vous avez à
tout moment le droit de demander à la directrice d'organiser une réunion
de l'équipe éducative pour faire le point sur l'évolution
de l'enfant, pour adapter le projet individualisé (un projet est révisable
par nature) ou pour préconiser une autre orientation (qui deviendra possible
en septembre prochain, vu l'âge de l'enfant) |
Je
me poserais la question de savoir si pour votre élève une assez
bonne solution ne serait pas une clis spécifique pour enfants souffrant
d'un retard mental moyen, semblable à celle de l'école
Descartes de La Rochelle qui est présentée dans mon site. |
| -
lorsquun fossé se creuse entre ce quil paraît faire à
la maison et ce quil fait à lécole, |
>
l'AVS doit-elle, elle aussi, s'approprier les techniques ? n'est-elle pas
là pour aider l'enseignant à faire acquérir les quelques
compétences scolaires visées pour cet enfant à travers des
jeux, des manipulations ? |
| Voici
ce que dit la circulaire n° 2003-093 du 11-6-03
: "L'attribution d'un AVS à un élève peut être
envisagée - quelle que soit la nature de son handicap et quel que soit
le niveau d'enseignement - dès lors qu'un examen approfondi de sa situation
fait apparaître le besoin, pour une durée déterminée,
d'une aide humaine apportée dans le cadre de la vie scolaire quotidienne,
en vue d'optimiser son autonomie dans les apprentissages, de faciliter sa participation
aux activités collectives et aux relations interindividuelles et d'assurer
son installation dans les conditions optimales de sécurité et de
confort." et encore : "il s'agit là d'une fonction d'accompagnement
"généraliste", qui respecte les fonctions et les qualifications
des autres personnels spécialisés sans les suppléer ni s'y
substituer." |
En d'autres
termes, l'AVS n'est pas tenue, elle non plus, de s'approprier des techniques spécifiques
qui sont celles des éducateurs ou des enseignants spécialisés,
sinon au niveau des gestes simples d'accompagnement. Mais si par intérêt
personnel elle est disposée à le faire, rien évidemment ne
l'en empêche. J'ajouterai toutefois que ces techniques (par exemple l'ABA
pour un enfant autiste), n'ont de sens que si elles sont mises en oeuvre par toute
une équipe... |
(Il y
a dans mon site une page de réflexions sur ce sujet, à propos de
la formation des AVS . Voyez notamment le débat
concernant une formation rémunérée par une famille...). |
| -
les parents sont ils en droit dexiger de la part de lenseignant, sous
prétexte que leur enfant est handicapé, plus dattention et
de soin que les autres parents des enfants de la classe ? |
| Ce
n'est sans doute pas une question à poser lors d'une réunion de
parents, car elle serait trop conflictuelle ! Ceci dit je suppose que l'enfant
handicapé, vous vous en occupez sans doute un peu moins quand il y a l'AVS
et un peu plus quand elle n'est pas là. |
J'aimerais
poser une autre question : les autres enfants de la classe, comment se
comportent-ils avec leur camarade handicapé ? |
| -
comment faire comprendre aux parents que leur enfant ne peut pas rentrer dans
des compétences de M.S. lorsquils sont sous le charme des progrès
constatés par un des intervenants extérieurs progrès que
lon ne constate que très rarement à lécole ?
|
| Ce
sont des questions qu'il est difficile de régler seule avec les parents,
le cadre d'une équipe éducative est sans doute préférable.
Si l'enfant fait des progrès dans d'autres domaines, vous ne pouvez ue
vous en réjouir. Il se montre peut-être un peu différent aussi
en relation duelle, mais le principe de l'école c'est précisément
qu'on travaille en groupe : en maternelle, vous apprenez aux enfants à
faire la ronde... |
Vous pourriez
- si vous en avez le temps et le courage - aller voir sur place, et demander à
l'orthophoniste ou au psychomotricien d'assister à l'une de leur séance...!
Ou leur proposer de venir observer l'enfant en classe... |
| Je crois que la nouvelle loi sur lintégration
devrait apporter des précisions beaucoup plus fines sur le rôle de
chacun. Je ne pense pas que lon soit en droit de demander à un enseignant
plus quil ne peut faire ou donner... |
| J'ajoute
deux remarques, d'un ordre plus général |
Ce
que les gens ont bien du mal à comprendre, c'est que la principale difficulté
dont souffre un enseignant c'est de constater son impuissance face à
un enfant qui ne progresse pas... Les parents ont imaginé, trop souvent,
que lorsque l'enfant serait plongé dans une classe "ordinaire",
au milieu des enfants "ordinaires", il s'en suivrait automatiquement
des progrès... Et quand l'enseignant propose une autre orientation, les
parents croient qu'il veut se débarrasser d'un enfant qui le gêne,
alors que le problème est plus grave... D'où l'intérêt
du projet individuel d'intégration, qui doit permettre - à tous
- d'être plus réalistes. |
Et
question formation, vous pouvez chercher s'il y aurait au CNEFEI un module
qui vous concernerait et demander à votre IEN de vous l'offrir ! http://www.cnefei.fr/FormationsHome.htm
> formation continue |
Quant
nouveaux textes sur la scolarisation des enfants handicapés, ils favoriseront
certes le développement de l'intégration individuelle mais il est
à craindre que du même coup les situations comme celle que vous décrivez
n'aillent en se multipliant. Personnellement, je pense d'une part qu'il y a des
enseignants qui attendent trop de "recevoir" la formation nécessaire",
comme si la vraie formation n'était pas d'abord le fait d'une recherche
active de l'intéressé, mais d'autre part aussi qu'on va mettre certains
personnels dans des situations impossibles là où il faudrait des
enseignants spécialisés et des structures adaptées.. |
| |
«
Scolariser l'élève handicapé » Louis, Jean-Marc / Ramond,
Fabienne La loi du 11 février 2005 fait obligation à l'école
d'accueillir et scolariser les jeunes handicapés. Ces auteurs pointent
de manière concrète les incidences sur l'école et la fonction
enseignante. Ce livre se veut un outil de réflexion mais aussi un guide
pratique pour aider au quotidien les enseignants des écoles, collèges
et lycées à accueillir et scolariser les élèves différents.
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Mise
à jour : 08/06/06
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